L'escrime, un heureux hasard
En 2008, assise sur ma chaise d'école, j'écoute parler mon professeur Daniel Coulombe (aussi connu sous le nom de Dan). Ça fait plus d'une demi-heure qu'il s'époumone à décrire les qualités de son nouveau projet, soit la création d'un club d'escrime. Prime abord, en secondaire 1, je n'avais aucune connaissance sur ce sport. Je ne savais même pas que l'escrime était un sport de combat et qu'il fallait manier une épée. Ainsi, quand Dan termine ses explications, il demande aux étudiantes de la classe s'il y a des intéressées. Personne n'ose lever la main, car l'escrime relève de l'inconnu pour toutes. Je me sentais mal pour lui, car il avait déployé tous ses efforts et sa passion, alors j'ai levé la main. Deux autres filles m'ont imité. Le jour d'après, je me suis rendue à ma première pratique. Aujourd'hui, je remercie le hasard de m'avoir présenté ma plus grande passion et je souris en écrivant cette anecdote.
L'avion n'a pas décollé sans moi
St-Louis, USA. C'est la première fois que je voyage seule pour une compétition. Le premier vol se déroule bien. Malgré mon sens de l'orientation qui laisse à désirer, je me rends sans difficulté à l'endroit prévu pour les bagages. Ceux-ci tardent à arriver. C'est l'heure de mon deuxième vol, mais je ne suis toujours pas là. Mon sac d'escrime apparaît. Je me mets à courir. J'ai chaud, j'ai mal aux muscles, je n'ai plus de salive. À la porte d'embarquement, mon entraîneur est là entre les portes qui se ferment. Il s'obstine avec l'hôtesse de l'air. Il me voit. On est tous les deux très contents. J'entre dans l'avion et tous les passagers m'applaudissent incluant mes partenaires d'escrime de Québec. Je suis gênée et je m'assieds. Je n'ai jamais été aussi contente de vivre un moment gênant. En route vers la compétition!
L'histoire du bonhomme aplati
Ma mère est enseignante au primaire et elle a fait lire un livre nommé Clément aplati à ses étudiants dans lequel le héros vit des expériences et des aventures. Ce livre est réputé sur la scène internationale, puisque des personnes venant des quatre coins du monde dessinent leur clément aplati et voyagent avec celui-ci. Pour construire un exemple à la classe, ma mère m'a demandé de jouer le jeu. J'ai apporté mon clément aplati dans ma valise, sourire en coin. Cela fait plusieurs fois que le petit bonhomme voyage avec moi.
En 2008, assise sur ma chaise d'école, j'écoute parler mon professeur Daniel Coulombe (aussi connu sous le nom de Dan). Ça fait plus d'une demi-heure qu'il s'époumone à décrire les qualités de son nouveau projet, soit la création d'un club d'escrime. Prime abord, en secondaire 1, je n'avais aucune connaissance sur ce sport. Je ne savais même pas que l'escrime était un sport de combat et qu'il fallait manier une épée. Ainsi, quand Dan termine ses explications, il demande aux étudiantes de la classe s'il y a des intéressées. Personne n'ose lever la main, car l'escrime relève de l'inconnu pour toutes. Je me sentais mal pour lui, car il avait déployé tous ses efforts et sa passion, alors j'ai levé la main. Deux autres filles m'ont imité. Le jour d'après, je me suis rendue à ma première pratique. Aujourd'hui, je remercie le hasard de m'avoir présenté ma plus grande passion et je souris en écrivant cette anecdote.
L'avion n'a pas décollé sans moi
St-Louis, USA. C'est la première fois que je voyage seule pour une compétition. Le premier vol se déroule bien. Malgré mon sens de l'orientation qui laisse à désirer, je me rends sans difficulté à l'endroit prévu pour les bagages. Ceux-ci tardent à arriver. C'est l'heure de mon deuxième vol, mais je ne suis toujours pas là. Mon sac d'escrime apparaît. Je me mets à courir. J'ai chaud, j'ai mal aux muscles, je n'ai plus de salive. À la porte d'embarquement, mon entraîneur est là entre les portes qui se ferment. Il s'obstine avec l'hôtesse de l'air. Il me voit. On est tous les deux très contents. J'entre dans l'avion et tous les passagers m'applaudissent incluant mes partenaires d'escrime de Québec. Je suis gênée et je m'assieds. Je n'ai jamais été aussi contente de vivre un moment gênant. En route vers la compétition!
L'histoire du bonhomme aplati
Ma mère est enseignante au primaire et elle a fait lire un livre nommé Clément aplati à ses étudiants dans lequel le héros vit des expériences et des aventures. Ce livre est réputé sur la scène internationale, puisque des personnes venant des quatre coins du monde dessinent leur clément aplati et voyagent avec celui-ci. Pour construire un exemple à la classe, ma mère m'a demandé de jouer le jeu. J'ai apporté mon clément aplati dans ma valise, sourire en coin. Cela fait plusieurs fois que le petit bonhomme voyage avec moi.
Le stade de l'INS
Juste pour vous dire à quel point j'adore cet endroit. Sérieusement, ce sont des installations formidables! En plus, j'ai la chance de vivre une passion avec ma petite soeur.
Juste pour vous dire à quel point j'adore cet endroit. Sérieusement, ce sont des installations formidables! En plus, j'ai la chance de vivre une passion avec ma petite soeur.